En juin, le gouvernement a annoncé le lancement de groupes de travail thématiques sur la sobriété énergétique, dont l’objectif consiste à réduire nos consommations d’énergie de 10 % en deux ans. Il s’agit de garantir notre sécurité d’approvisionnement dans le contexte de guerre en Ukraine et, à plus long terme, sortir la France des énergies fossiles.
La 1ére réunion du groupe de travail « Numérique et télécommunications » s’est tenue en présence du Comité stratégique de filière « Infrastructures numériques », de la Fédération Française des Télécoms et des quatre principaux opérateurs de télécommunications. Ils s’engagent, avec les Instances Représentatives du Personnel, à mieux faire connaître et appliquer les obligations légales (extinction des éclairages des lieux de commerce la nuit, températures de consignes des bâtiments, organisation du travail permettant de limiter les consommations énergétiques…) et ont confirmé leur « volonté » de diminuer de 10 % la consommation d’énergie d’ici deux ans.
Quand bien même « Là où il y a une volonté, il y a un chemin » (Edward Whymper), à FOCom, nous attendons surtout des engagements fermes d’Orange mais aussi de l’ensemble des parties prenantes en matière de transition écologique.
Les enjeux environnementaux obligent à recourir à l’électricité d’origine renouvelable, créer de nouveaux réseaux éco-efficaces et autonomes, renforcer l’économie circulaire, investir en Recherche/Innovation axée sur des technologies vertes et intégrer des comportements éco-responsables individuels et collectifs.
Plus que jamais, la question de l’écologie est au cœur de nos préoccupations syndicales et nous veillerons à ce que cette transition, nécessaire, soit un vecteur de progrès social pour les salariés d’Orange.