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Lors de première séance du 21 octobre, FOCom a contesté dans l’application de l’accord télétravail actuel et dans le bilan :
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des critères d’éligibilité qui sont trop subjectifs et contraires à l’accord actuel (exemple : la « confiance réciproque »),
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le terme de « parité » employé par la direction pour les télétravailleurs réguliers qui comptent 49,5% de femmes, alors que le taux de féminisation est de 37,4% parmi les salariés d’Orange,
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le manque d’accès aux jeunes, dû essentiellement au refus de télétravail pour les alternants,
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le blocage incohérent et régressif à uniquement 2 jours de télétravail régulier par semaine,
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le principe de jours en présentiel fixes, au-delà de la programmation de la réunion d’équipe, comme si « télé travailler » ne consistait pas à « travailler »,
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la non-reconduction des avenants sur 2 ans, alors que ce dispositif était une revendication de la direction,
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les délais à rallonge de traitement des demandes ou renouvellement, en irrespect de l’accord actuel, dus notamment au manque d’effectifs dans les CSRH.
Nous avons insisté pour obtenir l’assurance que tous les nouveaux dispositifs, forcément mieux disants dans un nouvel accord, s’appliqueront tout autant aux primo-accédants qu’aux télétravailleurs actuels.
