30 voire 35 % des effectifs seraient concernés ! Au total, les réductions d’effectifs s’échelonneraient entre 2 150 et plus de 2 600 postes. Des régions seraient sévèrement touchées par cette restructuration (Aix-en-Provence, Nantes), d’autres sites disparaîtraient littéralement (Toulouse, Metz). Ce projet a été présenté dans le cadre d’une gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (sic).
La stratégie du financier Drahi ? Développer le pôle Médias de son groupe quitte à massacrer SFR et à réduire comme peau de chagrin les effectifs de l’opérateur Télécoms avec toutes les dégâts collatéraux : stress des salariés, dégradation des conditions de travail, recrudescence des risques psychosociaux.