Avec la digitalisation, la nécessité de développer des compétences liées à la capacité d’apprendre, de réfléchir et d’interagir a émergé. Les soft skills ne désignent pas seulement les compétences comportementales mais également transversales telles que l’esprit d’analyse, d’initiative, la créativité, la capacité d’adaptation (…).
Alors que l’Intelligence Artificielle s’immisce de plus en plus dans le milieu professionnel, les soft skills signent le retour des savoir-faire humains au cœur des entreprises, notamment ceux liés à l’intelligence émotionnelle.
Néanmoins, FOCom soulève un point de vigilance quant à la complexité de leur évaluation lors du recrutement et les biais éventuels. Les compétences techniques sont mesurables alors que les soft skills laissent libre cours à une plus forte subjectivité de l’évaluation.
Pour y remédier, cela nécessite de définir une méthodologie, se doter d’outils d’évaluation et renforcer la formation continue afin de s’assurer que l’estimation des soft skills du candidat soit rationnelle et en adéquation avec le poste, et non pas avec le(s) recruteur(s).