Alors que selon l’étude de Technologia, 3,2 millions des actifs occupés seraient en situation de travail excessif et compulsif soit 12,6% de la population active française, ce syndrome d’épuisement professionnel ne figurera pas dans la liste des maladies professionnelle ainsi qu’il était initialement prévu dans la loi sur le dialogue social. Le ministre du travail, François Rebsamen : “Le burn-out, c’est un début de reconnaissance. C’est normal, ça peut exister. Mais ce n’est pas une maladie qui peut figurer au tableau des maladies professionnelles, parce qu’elle n’est pas uniquement liée au poste de travail”. FO continuera à se battre pour la reconnaissance du burn out comme maladie professionnelle car c’en est une par définition !