Dans la foulée des 2 mises en demeure dégainées par l’ARCEP, l’AOTA, une association d’opérateurs alternatifs qui regroupe environ 45 acteurs, réclame le partage d’Orange en 2 entités : une dédiée à l’infrastructure et l’autre aux activités de service à l’image de la SNCF. Démanteler l’opérateur historique est un vieux rêve de tous les ultra-libéraux, qui refait surface dans le sillage des attaques du régulateur au nom de la sacro-sainte concurrence. FOCom ne laissera évidemment pas faire.