L’ancien premier ministre du paradis fiscal, le Luxembourg, actuel président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker juge que « la réforme du droit du travail, voulue et imposée par le gouvernement Valls, est le minimum de ce qu’il faut faire… quand on le compare aux réformes comme celles qui ont été imposées aux Grecs ». Être reconnu comme bon élève par le chantre de l’économie libérale européenne en dit long sur la finalité du projet de loi travail très majoritairement rejeté par les Français.