À propos de la situation actuelle et de la « responsabilité » des entreprises, Stéphane Richard a indiqué : « Je crois qu’il va falloir qu’on entende la colère qui s’est manifestée, la frustration qu’elle exprime aussi, que ce soit à l’occasion peut-être de la fin de l’année ou des négociations salariales qui doivent se tenir », sous forme de coup de pouce sur la fin de l‘année, ou lors des négociations [salariales] au premier trimestre 2019.
Lire le tract : Lettre ouverte au PDG d’Orange