Selon une source proche de Bercy « il n’y aura pas de décision de descendre dans le capital d’Orange à court terme ». Voici pêle-mêle les explications qui circulent :
L’État voudrait peser sur la stratégie, pousser le groupe à s’internationaliser davantage, obtenir un redressement du cours de l’action à 17 ou 18 euros, ne pas être accusé de déstabiliser l’entreprise à quelques mois de la fin du mandat de Stéphane Richard, en mai prochain…
Si le danger n’est certes pas écarté, ça nous laisse un répit pour résister à un nouveau désengagement de l’État dans le capital d’Orange.