Dans un rapport cinglant sur l’État actionnaire publié le 25 janvier, elle estime que la participation de l’État dans la stratégie d’Orange peut représenter un frein à son développement et conseille qu’il réduise encore son niveau de participation (de 23% aujourd’hui).
Pour FOCom, le désengagement de l’État menacerait au contraire gravement le plan fibre et fragiliserait la situation de l’entreprise et celle de la filière des télécoms. Ce secteur ne peut prospérer qu’avec la mise en œuvre d’une véritable politique publique organisée autour d’Orange et reposant sur une vision industrielle visant à développer l’emploi et l’investissement et non sur une hyper concurrence destructrice qui favorise les aventuriers de la finance et les opportunistes de toutes sortes.