Dossiers qui s’accumulent, délais toujours plus serrés, l’urgence est devenue un mode de travail permanent dans les entreprises où l’objectif de « bien faire » a laissé sa place à celui de « toujours mieux faire ». Cette tendance à normaliser la surcharge de travail, avec les effets néfastes sur la santé que l’on connaît, semble s’être accentuée depuis le début de la crise sanitaire. Selon le dernier baromètre du cabinet Empreinte humaine (octobre 2021), 2,5 millions d’actifs vivent actuellement un burn-out, soit près de trois fois plus qu’en mai 2020. Ces chiffres alarmants montrent la nécessité de repenser notre rapport au travail. Il faut remettre en avant la qualité et non la quantité du travail comme marqueur d’efficacité, rééquilibrer les sphères de vie pour gagner en sérénité. Cela passe, entre autres, par la ritualisation : se forcer à prendre des pauses, mettre en place des activités qui forcent à couper, s’obliger à quitter le bureau avant de se sentir épuisé, etc.
A FOCom, nous nous engageons au quotidien pour la Qualité de Vie au travail et le respect des accords (équilibre vie privée-vie professionnelle, méthodologie sur l’évaluation et l’adaptation de la charge de travail…) afin de garantir des conditions de travail respectueuses pour tous.