Open space, Flex office, corpoworking et maintenant environnements de travail dynamiques, les nouveaux modes de travail se généralisent insidieusement en dépit des mises en garde des experts en conditions de travail et des engagements de Stéphane Richard. Au-delà de l’impact logistique et économique, cette refonte organisationnelle a des conséquences humaines et managériales importantes.
La mise en place d’environnements de travail dynamiques dans les projets immobiliers d’Orange, contribuerait, selon la direction, à améliorer les conditions de travail avec des espaces ouverts et collaboratifs, le partage de l’environnement et des positions de travail.
Derrière ces belles paroles, nous contestons une approche de l’immobilier visant avant tout à faire des économies au détriment des salariés et de leurs conditions de travail. Nous demandons que les nouveaux modes de travail répondent aux exigences des métiers et garantissent la qualité de vie au travail des personnels.
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