Au début de la crise, la direction considérait le télétravail contraint comme un non sujet et les difficultés que nous lui remontions comme des caprices. Or il a fallu improviser dans l’urgence cette nouvelle organisation de travail pour plus de 60 000 salariés. De fait, les règles de l’accord télétravail et du droit n’étaient pas respectées, que ce soit pour l’équipement, l’environnement de travail, la protection de la vie privée et même pour la participation de l’entreprise aux frais liés au travail à domicile et à la restauration. Après des semaines d’insistance, nous avons pu débloquer certaines choses…
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