Une des plus grandes violences faite aux enfants n’est-elle pas de les laisser vivre dans des taudis insalubres et dangereux (comme à Marseille) voire dans la rue (selon l’Insee, 30.000 enfants vivent avec un parent qui est sans domicile fixe), de ne jamais leur permettre de partir en vacances (1 sur 3), de voir leurs parents sans travail et sans ressources suffisantes pour financer leur cantine ou leurs fournitures scolaires ? Mais légiférer contre la fessée ne coûte rien alors que s’attaquer au chômage et à la pauvreté…