A l’occasion de la négociation GPEC (Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences), FOCom rappelle l’essentiel de ses revendications :
– une politique de recrutement ambitieuse en nombre (voir ci-dessous) mais aussi termes de recours à l’alternance, d’embauches en CDI, de féminisation du recrutement (31,8% fin septembre 2017 pour un taux de 35,7% de femmes en CDI) et de ré-équilibrage Île de France / province (33,4% des effectis étaient en IDF fin septembre 2017)
– la sauvegarde des petits sites
– une complète transparence sur l’évolution des métiers sachant que la Direction prévoit de passer de 400 à 100 métiers
– des plans d’actions qui accompagnent toutes les évolutions : la montée en compétence sur les nouveaux métiers comme l’accompagnement des reconversions pour ceux en voie de disparition
– une formation adéquate et pour tous : le programme futur’o dans sa forme actuelle est notoirement insuffisant (en 2016, 15 métiers ont été identifiés pour 360 salariés et au final 306 parcours ont été réalisés)
– aucune mobilité forcée
– la dissociation de l’accord GPEC et des accords sur l’intergénérationnel (insertion des jeunes, TPS…)
– le TPS reconduit (engagement de Stéphane Richard) dans des conditions optimales (29000 salariés en ont bénéficié depuis sa création)
– l’arrêt de la sous-traitance dont on veut connaître les coûts réels (y compris en termes de qualité et d’image pour Orange).