Emmanuel Macron a affirmé mercredi 25 mai devant la commission des Finances du Sénat que l’État n’a « pas vocation à rester de manière pérenne au capital d’Orange ».
Pour FOCom, Le problème n’est pas d’attendre « des conditions de marché plus favorables » pour se désengager de l’opérateur Orange. L’État doit rester l’actionnaire de référence. Car comme le dit par ailleurs le Ministre de l’Economie dans cette même intervention : « Sur Orange, nous avons une préoccupation patrimoniale comme actionnaire, et sectorielle comme régulateur, pour l’investissement dans les infrastructures télécoms ».
Pour FOCom, ce n’est en aucun cas le cours de l’action qui doit être un facteur déterminant dans la participation de l’Etat au capital d’Orange. Celle-ci est indispensable afin de pouvoir relever le défi des enjeux du Numérique et des besoins de la filière.
FOCom est opposée à toute nouvelle cession du capital d’Orange par l’Etat.